SoldatRyan a écrit:6) C'est aussi les 2 unions ( axe et alliés ) qui ont fait de cette guerre une guerre mondiale, qui au départ n'a commencé qu'en pologne mais qui de suite de ces contrats c'est poursuivie au monde entier
Les évènements antérieur à l'attaque contre la Pologne peuvent aussi être interprétés comme les prémisses de la SGM. Certains pensent qu'un intervention lors de l'affaire de la Sarre ou lors de l'affaire des Sudètes (alors que l'Allemagne n'était pas prête) aurait changé bien des choses.
SoldatRyan a écrit:comme le dit thierry plus haut la seconde guerre est à mes yeux une continuation de la premiere ...
2) Traumatisme du traité de Versaille côté Allemand, qui les avaient Humiliés
3) Arrivée au pouvoir de Hitler qui visait à venger le traité de Versaille ( ou le Diktat )...
De nomnbreux historiens pensent éffectivement que les 2 guerres mondiales ont des
causes communes. Il s'agirait de l'antagonisme entre 2 nationalismes puissants pour savoir qui allait dominer l'Europe continentale. Le nationalisme français et le nationalisme allemand. Dans ce contexte, il a donc fallu environ 60 millions de morts avant de ce rendre compte qu'il valait mieux s'entraider que s'entretuer.
Pour ce qui est du "dikat", il s'agit d'un mensonge monté au départ par l'armée allemande et qui a été validé ensuite par les nationalistes.
L'armée allemande prétendait qu'elle n'avait pas perdu la guerre et que c'est la situation quasi-insurrectionnelle de l'arrière qui a permis l'arrivée au pouvoir des hommes politiques qui ont demandé l'armistice. Dans ce cas, le traité de Versaille est éffectivement un "Dickat". Mais les archives montrent quelque chose de totallement différent. Au cours du mois de septembre/octobre 1918, les désertions au sein de l'armée allemande devinrent très nombreuses. En fait, il ne s'agissait pas à proprement perler de désertions, dans de nombreuses villes allemandes se créaient des "soviets" de soldats (et des ouvriers qui participaient à l'effort de guerre). Face à cette situation insurrectionnelle, les hommes politiques allemands ont proclamé la République et ont éssayé de ramener l'ordre. Chose pas facile lorsque l'on est en guerre et que les forces de l'ordre sont occupés ailleurs. L'armée allemande, elle savait que tot ou tard son dispositif allait totallement s'écrouler. D'où demande de pourparlers, ce qui eut l'avantage de geler les attaques prévues par les alliés. Et ce qui permettait aussi d'envisager l'envoi de forces de maintien de l'ordre à l'arrière.
Mais les alliés éxigeaient une capitulation, chose que n'envissageaient pas les généraux allemands. Ceux-ci demandèrent donc aux hommes politiques au pouvoir de demander un armistice, ce qu'il firent pour sauver l'honneur de l'armée allemande. Il faut bien voir que l'armée allemande (ou du moins son Etat-major) était maitre du jeu. On avait besoin d'eux pour restaurer l'ordre dans le pays.
Acceptation de l'Armistice par les alliés, fatigués par la guerre et qui avaient peur de la création d'une situation insurrectionnelle chez eux, chose qui n'advint pas et qui apparemment n'était pas en préparation. Quand les allis ont découverts la réalités, nombreuses furent les voies qui s'élevèrent pour dire que l'on avait accepté cet armistice un peu trop vite. Churchill s'en rappellera lorsqu'il éxigera la capitulation sans conditions des armées allemandes comme préalable à la paix.
D'après certains historiens, il semblerait que dans certains secteurs du front, il restait moins de 10% des soldats allemands, ce qui laisse entendre que la moindre poussée des armées alliées pendant les pourparler en vue de l'Armistice aurait pu donner cette percée majeure qu'ils espèraient depuis plus de 4 ans.
De nombreuses personnes pensent que l'invasion de l'Allemagne pendant l'hivers 1919 avec la vision des restes de l'armée allemande se débandant face aux armées alliées aurait surement changés bien des choses. Mais cela nous ne le saurons jamais. C'est l'attitude le d'état-major de l'armée allemande qui donna corps à cette légende urbaine du "coup de poignard dans le dos". Ceci fut exploité à merveille par les milieux nationalistes allemands, chaque fois que c'était évoqué, cette légende se renforcait. dans ces conditions, le traité de Versaille ne pouvait qu'être un "dicktat" qui devait être dénoncé dès que possible.
Le fait que l'opinion publique française réclamait le prix du sang et la réparation des dégats et qu'aucun homme politique français ne pouvait aller à l'encontre de cette demande très forte de la population expliQUENT L4ENGRENAGE FATAL QUI MENA 0 LA sgm.